\"Ménopause : et si ce n’était pas un déséquilibre, mais un trop-plein ?\"

La ménopause n’est pas un “problème à régler”, c’est un passage. Un moment profond où le corps nous invite à faire de la place.
Pas seulement dans les hormones, mais dans notre façon d’être.

Ce qu’on appelle souvent “symptômes de la ménopause” est très souvent lié à une surcharge intérieure.

Notamment :

• Un foie engorgé (accumulation d’hormones mal éliminées, stress, toxines)

• Une digestion ralentie par les années d’alimentation émotionnelle

• Une inflammation de fond (trop d’acide, pas assez d’espace)

• Et surtout… un trop-plein d’énergie yang

Durant les années qui précèdent la ménopause, beaucoup de femmes sont :

• dans l’action constante

• dans le don, souvent sans retour

• dans l’exigence envers elles-mêmes

• dans la gestion mentale, émotionnelle, familiale

Résultat : le corps s’assèche, chauffe, sature.
Il crie “stop” à travers des bouffées, de la colère inexprimée, des troubles du sommeil ou une fatigue intense.

Le foie est l’organe du tri, du détox, de l’émotion refoulée (surtout la colère).
S’il est surchargé, il ne parvient plus à éliminer l’excès d’œstrogènes, ce qui accentue les troubles hormonaux.

Un foie fatigué peut entraîner :

• bouffées de chaleur intenses

• sommeil léger et réveils nocturnes

• troubles digestifs

• sensation d’être “à cran” sans raison

Je reçois des femmes à la ménopause qui disent :

• “Je n’ai plus d’énergie, mais je n’arrive pas à m’arrêter.”

• “Je ne me reconnais plus dans mon corps.”

• “Je ne supporte plus personne… même moi.”

• “Je sens que mon corps veut autre chose, mais je ne sais pas quoi.”

Et très souvent, ce qu’elles ont besoin ce n’est pas de plus de contrôle, mais de plus de vide, de ralentissement, de repos, de permission.