
Tu ressens parfois ce poids écrasant qui murmure que tu n’es pas assez ?
Que tu n’as pas le droit de te montrer, de parler, de briller ?
Ce sentiment profond, collant, presque silencieux…
C’est souvent la honte.
Et elle peut détruire lentement, si on ne l’écoute pas.
Mais elle peut aussi empêcher ton corps de se libérer. Même du poids.
La honte est l’émotion la plus paralysante que nous puissions vivre.
Elle isole, fige, étouffe, jusqu’à faire croire qu’on ne mérite pas d’exister.
C’est un effondrement intérieur, un effacement de soi.
À l’inverse, la force intérieure commence dès que l’on ose reconnaître ce que l’on ressent… sans se juger.
Et là, quelque chose change.
Dans le cœur, mais aussi dans le corps.
La honte n’est pas une faute personnelle. C’est une charge émotionnelle. Souvent transmise. Intériorisée. Rarement nommée.
Et pourtant, elle agit comme un poison lent — mentalement, émotionnellement, et physiquement.
Elle nous coupe de nous-mêmes.
Et le corps, lui, enregistre tout.
Il garde. Il retient. Il protège.
La honte maintient le corps en état de survie.
Elle coupe la respiration…
Tend les muscles…
Ralentit la digestion…
Bloque l’élan vital…
Et c’est souvent là que tout commence à se figer.
Tu veux perdre du poids…
Mais ton corps, lui, croit qu’il doit te protéger.
Et tant que l’émotion n’est pas reconnue, il garde.
Conséquences possibles :
Fatigue chronique et douleurs diffuses
Troubles digestifs (intestin irritable, ballonnements, constipation)
Irrégularités hormonales ou syndrome prémenstruel exacerbé
Baisse d’immunité, infections à répétition
Perte de libido, sensation d’extinction intérieure
Et… difficulté à perdre du poids, malgré tous les efforts
La quarantaine marque souvent un tournant dans la vie d’une femme.
C’est un moment de vérité intérieure, où les émotions enfouies refont surface :
culpabilité, comparaison, non-dits, sacrifices…
La honte peut alors s’insinuer dans le corps comme un poids invisible.
Un ventre tendu. Une digestion ralentie. Un corps qui garde ce qu’il ne peut pas relâcher.
Mais ce n’est pas une fatalité.
C’est une invitation à se libérer.
À se choisir.
À poser un regard plus tendre sur soi.
Tant que tu ne digères pas tes émotions… ton corps ne digèrera pas non plus
Tu peux changer ton alimentation.
Faire du sport. Boire plus d’eau.
Mais tant que ce que tu ressens n’est pas accueilli…
Le corps ne lâche pas.
Il ne s’agit pas juste de manger autrement.
Il s’agit de libérer ce que tu retiens depuis trop longtemps.
De sortir de la honte.
De te reconnecter à ton ventre, à ton souffle, à ton histoire.
Voici des gestes simples à pratiquer avec douceur :
Prends 3 grandes respirations conscientes devant le miroir chaque matin, en te regardant avec bienveillance
Écris une lettre à la part de toi qui se sent en faute… puis brûle-la ou enterre-la symboliquement
Offre-toi un soin ou un moment juste pour toi, sans justification
Rejoins un cercle de parole ou une séance thérapeutique sécurisée
Répète cette phrase 3 fois par jour : « Je suis digne d’amour maintenant, même imparfaite. »
Nourris-toi de beauté : musique, nature, silence
Bois une infusion calmante en fin de journée (camomille, verveine, lavande)
Pratique un toucher conscient : te masser les pieds ou le ventre avec une huile chaude
Arrête de suivre les comptes ou contenus qui te font te sentir “moins que…”
Honore ton corps par un geste symbolique : porter un vêtement que tu aimes, danser, chanter.
Sur ce blog, tu trouveras aussi des exercices de gratitude, des rituels pour mieux comprendre ton corps, des outils pour apprendre à digérer tes émotions, à ton rythme… en douceur.
Parce qu’avant de parler de perte de poids, il faut parler de ce qui pèse vraiment.
Et si ton corps ne résistait pas à toi…
Mais à tout ce que tu portes en silence ?
Quand tu sors de la honte,
quand tu respires à nouveau dans ton ventre,
quand tu te regardes avec compassion…
Alors, tout peut commencer à bouger.
De l’intérieur. Puis à l’extérieur.
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